Les médias peuvent jouer un rôle essentiel en assurant la participation des citoyens aux discussions sur leur développement et en aidant à tenir les autorités responsables devant la population. Mais ce n’est que lorsque les médias sont libres et indépendants et que les citoyens sont libres de s’exprimer sans aucune forme de répression.
C’est ce que nous cherchons à réaliser dans le cadre de ce programme: des médias libres et indépendants et un environnement dans lequel les gens peuvent s’exprimer librement. Depuis 22 ans, nous gardons un œil vigilant sur le paysage médiatique des 16 pays de la région. Dans le processus, nous avons constamment dénoncé les violations des droits des médias et de la liberté d’expression et avons exercé des pressions sur les autorités pour qu’elles agissent de manière à favoriser la liberté de la presse et la liberté d’expression.
Cela a certainement contribué à faire de l’Afrique de l’Ouest un endroit relativement meilleur pour la liberté de la presse et la liberté d’expression par rapport à d’autres régions du continent. Au cours des deux décennies, nous avons régulièrement produit des rapports sur la situation de la liberté de la presse et de la liberté d’expression dans la région, y compris des myriades d’alertes chaque année. Nous avons, avec nos partenaires, plaidé avec succès pour l’adoption de lois sur l’accès à l’information au Libéria, en Sierra Leone, au Nigéria, au Burkina Faso, au Togo, au Niger, en Guinée et, plus récemment, au Ghana.
Nous avons également travaillé pour que les lois pénales sur la diffamation soient abrogées au Ghana et au Libéria, et avons rendu très impopulaire l’application de ces lois dans les pays où elles existent encore. Nos travaux ont contribué à la libération des journalistes de prison et à l’obtention de la justice pour les familles de journalistes torturés et assassinés.
Les médias peuvent jouer un rôle essentiel en assurant la participation des citoyens aux discussions sur leur développement et en aidant à tenir les autorités responsables devant la population. Mais ce n’est que lorsque les médias sont libres et indépendants et que les citoyens sont libres de s’exprimer sans aucune forme de répression. C’est ce que nous cherchons à réaliser dans le cadre de ce programme: des médias libres et indépendants et un environnement dans lequel les gens peuvent s’exprimer librement. Depuis 22 ans, nous gardons un œil vigilant sur le paysage médiatique des 16 pays de la région.
Dans le processus, nous avons constamment dénoncé les violations des droits des médias et de la liberté d’expression et avons exercé des pressions sur les autorités pour qu’elles agissent de manière à favoriser la liberté de la presse et la liberté d’expression. Cela a certainement contribué à faire de l’Afrique de l’Ouest un endroit relativement meilleur pour la liberté de la presse et la liberté d’expression par rapport à d’autres régions du continent.
Au cours des deux décennies, nous avons régulièrement produit des rapports sur la situation de la liberté de la presse et de la liberté d’expression dans la région, y compris des myriades d’alertes chaque année. Nous avons, avec nos partenaires, plaidé avec succès pour l’adoption de lois sur l’accès à l’information au Libéria, en Sierra Leone, au Nigéria, au Burkina Faso, au Togo, au Niger, en Guinée et, plus récemment, au Ghana. Nous avons également travaillé pour que les lois pénales sur la diffamation soient abrogées au Ghana et au Libéria, et avons rendu très impopulaire l’application de ces lois dans les pays où elles existent encore.
Nos travaux ont contribué à la libération des journalistes de prison et à l’obtention de la justice pour les familles de journalistes torturés et assassinés.