Le 24 mai 2015, Saikou Ceesay, le rédacteur en chef des Affaires de la Gambie, un journal en ligne en Gambie, a été menacé de mort par un inconnu.
Des sources de la MFWA ont signalé que Ceesay a reçu un appel téléphonique d’un inconnu qui aurait menacé d’envoyer des voyous de le tuer pour un poste, il a fait en critiquant une tentative récente par la CEDEAO d’introduire des limites du mandat présidentiel dans les pays de la sous-région.
Le post de Facebook susmentionné faite le 21 mai lire: “à la CEDEAO : la souveraineté des nations doit être respectée. Le terme « limites de l’expression » est souverain. Il ne peut être imposé sur n’importe quel pays, quelle que soit sa taille ou sa richesse. Laissez la CEDEAO travailler à répondre aux besoins économiques des personnes sur le bloc. Émancipation économique et la rééducation sont clés dans la lutte pour une Afrique prospère. La pauvreté et l’ignorance ont émasculé le continent dans tous les domaines. Laissez-nous travailler ensemble comme un bloc et cesser de porter atteinte à la souveraineté d’autres nations.”
Selon les sources de la MFWA, Ceesay a reçu un appel d’une personne anonyme après avoir fait ce post, qui a dit: “continue seulement de faire échouer nos efforts pour faire passer des limites de durée du mandat présidentiel, nous enverrons le voyou pour vous exterminer. Vous devez se taire.”
Suite au régime sous la peur qui dure 21 ans du roi de l’’impunité de l’Afrique de l’Ouest, sous le président gambien Yahya Jammeh, beaucoup de journalistes et de politiciens sont en cachette dans des pays comme l’es Etats Unis. Certains de ces gambiens à l’étranger ont formé des parties politiques et se battent pour les changements dans leur pays natal. Les sources de la MFWA croient que l’appelant peut être une gambien qui croit que Ceesay contrarie leurs efforts par la critique des efforts de la CEDEAO à imposer des limites de durée dans les pays membres.
A la suite de la menace Ceesey a signalé l’affaire à la police de Yundun et plus tard, il a été escorte au bureau de l’inspecteur général à Banjul. Apres, un policier lui a été assigne pour le protéger.