Dans l’après-midi du 13 aout 2013, des policiers du commissariat central de la Police Burkinabé ont attaqué les studios d’une radio privé Pulsar Radio, basée à Ouagadougou.
Selon les rapports envoyés par le moniteur de la MFWA dans le pays, les agents de police se sont introduits dans les studios lors d’une émission d’un programme politique (faut qu’on en parle), pour arrêter un groupe d’universitaires qui participaient en tant que panélistes.
La police a accusé les étudiants faire des déclarations d’incitation tout en discutant de la récente expulsion violente des étudiants des différents campus universitaires
Cependant, après avoir écouté un enregistrement de l’émission, la police s’était rendu compte que les étudiants n’avaient pas prononcé de tels propos, a rapporté le moniteur.
“Le commissaire de police s’est excusé auprès de la direction de la station radio pour l’attaque après avoir écouté l’enregistrement » dit Richard Tiene reporter de la station au moniteur de la MFWA.
En dépit de l’excuse faite par la police, il y lieu de se soucier à la suite d’une série d’attaques et d’intolérance perpétrées par la police contre la liberté d’expression et les manifestations pacifiques.
Au cours du mois de juillet, la MFWA a fait des rapports sur deux attaques séparées de gaz lacrymogène utilisé par les policiers sur les manifestants del <http://www.mediafound.org/?p=4378&lang=fr> ’opposition causant des blessures à plusieurs manifestants et aux journalistes qui couvraient l’événement.
L’opposition est contre la décision du gouvernement de mettre en place une deuxième chambre de l’assemblée nationale.